Le lendemain et les jours qui suivirent

Philippe est de retour au moulin des Genêts, là où il vécut son enfance auprès de sa mémé Louise. Tout en ce lieu lui rappelle cette grand-mère à laquelle il était tant attaché. 

Assis derrière sa table de travail dans la chambre qui lui sert de bureau, il observe un portrait de Louise que sa femme a peint pour lui. Son regard parcourt aussi les photographies posées sur la commode qui occupe la presque totalité du mur, tout au fond de la pièce… Puis, il se laisse submerger par les souvenirs. 

Le temps présent le ramène dans le passé, en ce matin lumineux faisant suite à un violent orage. C’est cette nuit-là qu’il avait découvert le fameux cahier à l’encre violette dans lequel sa grand-mère racontait l’histoire de sa vie… Un récit qui lui avait permis de rencontrer une dame bien différente de celle qu’il croyait connaître. 

Il en est ainsi du passé, il ricoche sur le temps présent et l’imprègne malgré nous. Ce qui, tout naturellement, conduit Philippe à songer à sa fille Pauline… qui ressemble tant à Louise !